Chansons-Collages, c’est une série de duos que Philippe Laccarrière partage avec 7 chanteuses / chanteurs parfois instrumentistes, dont les vecteurs sont la basse / contrebasse et la voix.Chaque duo présente un tableau différent et les paysages sont contrastés : soul, scat, latino, les langages sont d’une grande richesse.
Entre adaptations personnelles et compositions, Philippe Laccarrière nous invite dans ce projet, qui lui est cher, au coeur de son intimité et nous dévoile une sensibilité viscérale.
À travers les langues française, anglaise et hispanique, les hommages vont de la Motown à la Palestine, du Brésil à l’Équateur, sans oublier l’Espagne à laquelle Philippe Laccarrière est tant attaché, terre de ses aïeux.
Fidèle à lui-même, il n’en oublie pas pour autant l’improvisation et la spontanéité, toujours prépondérantes, marques de caractère. Philippe LACCARRIERE (guitares basses, contrebasse), Monica ACEVEDO (voix, violon), Hubert COLAU (voix, percussions), Guylenn DELASSUS (voix), Dominique DEVALS (voix), Donna KHALIFE (voix), Paul LACCARRIERE (voix, guitare), Helena RECALDE (voix, guitare).
DIRECTION SUD-OUEST (Autoproduction – Vinyle 1982 – CD 2012)
Suite à la demande d’un distributeur japonais, le vinyle Direction Sud-Ouest (1982) a été ré-édité en CD (2012).
Une des premières productions de Philippe LACCARRIERE (contrebasse) devenue culte, où il est accompagné de François FAURE (piano), Francis BOURREC (saxophone ténor) et Eric DERVIEU (batterie).
LACCA’S DREAM’N’BASS, c’est le trio Philippe LACCARRIÈRE (basse, contrebasse, textes, samples), Laurent HESTIN (guitares / ukulélé) et Hubert COLAU (batterie, voix, samples).
Ils se permettent d’aborder tout un panel de styles musicaux avec une égale liberté, et si l’esprit reste celui du jazz avec des improvisations, la couleur tire sur les musiques du monde, le groove voire même le rock !
Des chorus hyper-actifs sur des thèmes saisissants, percutants et émouvants, une véritable synergie, proche de la symbiose.
ONZE ASTRES SUR L’ÉPILOGUE ANDALOU
(Cie de la Ruelle – 2006)
Le palestinien Mahmoud DARWICH (1941-2008) est une des figures de proue de la poésie arabe. Profondément engagé dans la lutte de son peuple, il n’en a pour autant jamais cessé d’espérer la paix, et sa renommée dépasse les frontières de son pays.Ce « jazzman des mots » comme le dit son traducteur, « tord » les règles de la poésie classique comme un musicien de jazz « tord » les règles de la musique classique. La démarche était donc d’insérer cette poésie à la fois personnelle et universelle, dans un écrin de musique qui soit un mélange de jazz et de chanson.Traduits par Elias SANBAR, certains poèmes sont dits et chantés par la comédienne Dominique DEVALS, mis en musique par Philippe LACCARRIÈRE (basse / contrebasse). Avec Thierry BRETONNET (accordéon), Fabrice LESELLIER (percussions) et Hubert COLAU (batterie / voix).
‘Ces Rencontres-Là’ est en quelque sorte la continuité de l’album ‘Au Sud Du Nord’, version plus épurée cette fois-ci.
Aux côtés de Philippe LACCARRIÈRE (basse, contrebasse), on retrouve alors quelques noms qui figurent déjà sur l’opus précédent : Fabrice LESELLIER (percussions), Hubert COLAU (batterie / voix), Mimi LORENZINI (guitare), Franck TORTILLER (vibraphone), Emmanuel BEX (orgue), et Pierre « Tiboum » GUIGNON (batterie)
AU SUD DU NORD, comme son nom l’indique, est à l’image de l’association et du travail que son fondateur, Philippe LACCARRIERE n’a cessé de développer depuis. Autour de musiciens-piliers (ici Franck TORTILLER au vibraphone, Emmanuel BEX à l’orgue Hammond, Mimi LORENZINI à la guitare, Pierre ‘Tiboum’ GUIGNON à la batterie), immiscer des talents émergents (Hubert et Valérie COLAU à la batterie et à la voix, Fabrice LESELLIER aux percussions) et ouvrir ce champ musical aux artistes locaux (Brigitte JACQUOT et Jean MOSCOU au chant).
Le trio ADRIAN CLARCK réunit la chanteuse Sandrine CONRY, Damien ARGENTIERI à l’orgue Hammond et David POURADIER-DUTEIL à la batterie.
Leur répertoire flirte avec les musiques soul, jazz, pop, gospel et funk : Aretha Franklin, Stevie Wonder, Diane Reeves, Janis Joplin ou Leonard Cohen… Une musique où coexistent improvisations audacieuses, mélodies chaudes, généreuses, parfois dépouillées, et grooves sobres ou débridés !
François FAURE, piano / Philippe LACCARRIERE, contrebasse / Thierry ARPINO, batterie. Quelle pétulance ! Quelle vie ! Emily nous fait frémir. Si dans That’s All, album précédent, la mélancolie était une tonalité majeure, ici, la joie de vivre, l’ivresse, l’envoûtement, sont prépondérants.Emily est un rêve de musique plus délicate que la pluie du matin, plus précieuse que la caresse du vent, plus troublante que l’odeur de la terre humide. Au cœur d’Emily sourdent des fêlures tenaces et profondes, des saveurs emmiellées, des lumières douces à boire, des arcs-en-ciel de braise et des espoirs doux-amers à la manière de fêtes sous la pluie. Loin du tohu-bohu ordinaire, cet album, susurrant des douceurs semblables aux sourires d’enfants, dévoile les larmes, les éclats de rire et l’âme des musiciens.
François FAURE, piano / Philippe LACCARRIERE, contrebasse / Denis FOURNIER, batterie. Un vrai trio, avec partage du travail. Le terme prend ici son véritable sens: la recherche de la plus grande efficacité en valorisant le meilleur de chacun. François Faure, né à Périgueux en 1949, a choisi de vivre en Gironde, ce qui ne l’empêche pas de se produire partout où la musique se fait. Après avoir enregistré avec Philippe Laccarrière, lui aussi Bordelais (‘Direction Sud-Ouest’, distribué par OMD), il nous offre aujourd’hui un ‘That’s All’ de haut niveau, avec à nouveau Philippe Laccarrière à la basse, et le batteur Denis Fournier, né à Montpellier, très attiré par les musiques du monde entier. La forme du trio est ici evansienne. On retrouve le sens de l’espace et de son occupation, menée de manière spécifique par chaque participant. Mobilité du bassiste, sans étalage ; légèreté du batteur, troisième mélodiste ; sérénité apparente du pianiste. Car, si l’on évoque Bill Evans pour l’ensemble du trio, notamment dans That’s All ou Mathilde, le point d’ancrage de François Faure se trouve chez Hampton Hawes, sensibilité à vif et réserve pudique mêlées. Pour s’en assurer, que l’on réécoute Hampton. La référence est là, mais la touche personnelle évidente.Le Monde de la Musique – Joël Pailhé – Mai 1993
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